Critique : Transformers : Le Commencement
Transformers : Le Commencement est le meilleur film de la franchise depuis Transformers 3. Un défouloir avec des airs de La Revanche des Sith.
Transformers : Le Commencement est le meilleur film de la franchise depuis Transformers 3. Un défouloir avec des airs de La Revanche des Sith.
Un bijou d’animation qui sort de nulle part avec un succès au box-office au rendez-vous, au point de lancer la mise en chantier d’une suite.
Dans la lignée de Scott Pilgrim prend son envol, également sur Netflix, Terminator Zero propose une relecture du mythe.
Devant Moi, moche et méchant 4, j’ai ressenti une certaine lassitude, car les nouveautés se comptent sur les doigts d’une main.
Une suite réussie dans la lignée de son prédécesseur, illustrant brillamment le passage à l’adolescence. Bref, un Pixar émouvant et drôle.
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
La suite de la série X-Men des années 90 réussit le pari de faire suite en modernisant le style sans jamais le renier.
Kung Fu Panda 4 se contente du strict minimum : nous offrir un film familial qui arrivera de temps en temps à décrocher quelques rires.
C’est parti pour une nouvelle saison de la série animée de Marvel Studios, What If…?, et pour une critique, épisode par épisode.
Un Disney mineur souffrant d’une tentative d’innover visuellement mais dont le rendu est, au mieux, moyen en plus de pas être dépaysant.