Critique : The Grandmaster
Quand l’artiste Wong Kar-Wai décide de s’attaquer à un mythe des arts martiaux, Ip Man, difficile de ne pas s’exciter.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Quand l’artiste Wong Kar-Wai décide de s’attaquer à un mythe des arts martiaux, Ip Man, difficile de ne pas s’exciter.
Attendu comme une bombe SF, Oblivion avait pas mal d’arguments, notamment une bande annonce sublime et un Tom Cruise à l’aise dans le genre.
Ah là, là, alors qu’on se dit que le marketing français ne pourra plus nous surprendre, voilà qu’il frappe encore un gros coup.
Parler du premier G.I. Joe m’est difficile car je ne m’en souviens pas des masses mais ça ne m’empêche pas de vouloir voir cette suite.
La trilogie du guerrier qui avait un peu trop forcé sur le maquillage de la cour de Versailles étant terminé, que faire ?
Quand Piège de Cristal rencontre 24 heures chrono, ça donne La Chute de la Maison Blanche. On ne peut pas faire mieux comme description.
Rares sont les jeux de combats à offrir une histoire aussi réussie sans parler de sa mise en scène ultra efficace.
Tim Burton avait vendu son âme en tournant la suite d’Alice. Flairant la bonne affaire, Disney a décidé de remettre ça avec Le Magicien d’Oz.
La renaissance de Lara Croft via un lifting a donné un des jeux de l’année 2013 (peut-être même le meilleur).
Ça sent la connerie ? Et alors ? Un moment, il faut savoir poser ses burnes sur la table et risquer de se prendre un coup de marteau dessus.