Critique : Jurassic World : Renaissance
Jurassic World : Renaissance promettait d’être un nouveau souffle pour la franchise après un décevant Le monde d’après. Manqué !
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Jurassic World : Renaissance promettait d’être un nouveau souffle pour la franchise après un décevant Le monde d’après. Manqué !
Heads of State est un buddy movie porté par une réalisation inspirée, livrant des scènes d’action fun, et un duo sorti de Belle Reve.
Une deuxième partie qui ne fait qu’empirer. Bref, Ironheart a réussi l’exploit d’être la première œuvre du MCU que je n’aime pas.
Dans la lignée de Top Gun : Maverick (dont on retrouve l’équipe), F1 le film semble sortir des années 90 avec des séquences d’action folles.
Une troisième saison avec des jeux efficaces et une maîtrise du rythme et de la tension donnant envie d’enchaîner tous les épisodes.
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Ray Mendoza et Alex Garland se sont associés pour livrer un film sur une bataille ayant eu lieu en 2006 en Irak. Une expérience à part.
Si son intrigue demeure classique, Deep Cover développe son idée originale pour offrir des moments sincèrement drôles.
Avec Ballerina, John Wick s’offre son premier spin-off cinématographique. Mais, sans être raté, le le film n’est pas à la hauteur.