Critique : Final Fantasy VII Rebirth
Cette deuxième partie de la trilogie Final Fantasy VII Remake corrige certains défauts de son prédécesseur, mais en ajoute.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Cette deuxième partie de la trilogie Final Fantasy VII Remake corrige certains défauts de son prédécesseur, mais en ajoute.
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Atlas donne l’impression de regarder un film d’action SF un peu nanardesque des années 90 comme Judge Dredd ou Universal Soldier.
Avec The Gentlemen, Guy Ritchie adapte son meilleur film récent en série télévisée. Bref, un régal si l’on est fan du bonhomme.
Je l’attendais avec impatience, ce Furiosa : Une saga Mad Max. Et la déception a été malheureusement proportionnelle à l’attente.
Après la série The Last of Us, les jeux vidéo ont une nouvelle adaptation très réussie en la personne de Fallout.
La suite de la série X-Men des années 90 réussit le pari de faire suite en modernisant le style sans jamais le renier.
Le Nouveau Royaume se sert de bonnes idées, comme éviter le reboot, afin de livrer une aventure, même si classique, captivante.
Ryan Gosling et Emily Blunt brillent dans cette double love story. L’une pour les stars et l’autre pour les cascadeurs.
City Hunter, incompréhensiblement traduit en Nicky Larson par Netflix, est une adaptation fort sympathique grâce à un énorme Ryohei Suzuki.