La folle critique : Superman (2025)
Bon ben comme prévu Gunn ne change pas sa recette à base d’humour sans finesse et de passages tire-larmes.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Bon ben comme prévu Gunn ne change pas sa recette à base d’humour sans finesse et de passages tire-larmes.
Superman ose en embrassant jusqu’au bout les origines comics de l’homme d’acier, au point de les transposer littéralement à l’écran.
Jurassic World : Renaissance promettait d’être un nouveau souffle pour la franchise après un décevant Le monde d’après. Manqué !
Heads of State est un buddy movie porté par une réalisation inspirée, livrant des scènes d’action fun, et un duo sorti de Belle Reve.
Une deuxième partie qui ne fait qu’empirer. Bref, Ironheart a réussi l’exploit d’être la première œuvre du MCU que je n’aime pas.
Dans la lignée de Top Gun : Maverick (dont on retrouve l’équipe), F1 le film semble sortir des années 90 avec des séquences d’action folles.
Une troisième saison avec des jeux efficaces et une maîtrise du rythme et de la tension donnant envie d’enchaîner tous les épisodes.
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Ray Mendoza et Alex Garland se sont associés pour livrer un film sur une bataille ayant eu lieu en 2006 en Irak. Une expérience à part.