Critique : Transformers : Rise of the Beasts
Un Transformers faisant le job. Rien de dingue, avec même un gros creux au milieu, mais une bonne grosse bataille finale comme j’aime.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Un Transformers faisant le job. Rien de dingue, avec même un gros creux au milieu, mais une bonne grosse bataille finale comme j’aime.
Si je regrette certains choix, difficile de ne pas prendre son pied devant le nouveau spectacle de Tom Cruise et son équipe.
La rencontre improbable entre Game of Thrones et Devil May Cry tout en conservant les codes de la saga de la fantaisie finale.
L’épisode le plus court, mais aussi celui où l’action est le plus présent. Paradoxalement, ce n’est pas l’action que j’ai préférée.
On arrive à la moitié de la saison et les enjeux augmentent d’un cran avec de nouvelles surprises. Bref, toujours aussi efficace.
Même si de meilleure facture que Le Royaume du crâne de cristal, Le Cadran de la Destinée n’arrive pas non plus à se montrer à la hauteur.
Aurions-nous droit avec Secret Invasion à l’Andor du MCU ? Il ne faudra pas attendre plusieurs épisodes, car celui-ci commence à confirmer.
Un film de guerre reposant sur une idée originale et porté par un duo d’acteurs charismatiques. Dommage de ne pas avoir évité les clichés.
Avec ce premier épisode, Secret Invasion se lance doucement mais sûrement sur un mood Le Soldat de l’Hiver où le sérieux prédomine.
À l’image de son héros arrivant toujours en retard, The Flash semble déjà daté avec son histoire reposant sur le multivers sans originalité.
Tyler Rake 2 reprend la même équipe que celle du premier et livre une suite avec les mêmes qualités et défauts, mais arrive à faire mieux.
En voulant ajouter un « monde ouvert » (plus proche de la zone) dans sa panoplie, Star Wars Jedi : Survivor se tranche le pied au sabre-laser.
J’ai regardé la série car elle réunissait les têtes d’affiche de mon film préféré de l’année dernière Everything Everywhere All at Once.
J’ai commencé FUBAR parce qu’Arnold Schwarzenegger (pas besoin d’en dire plus) dont c’est la première série télévisée en tête d’affiche.