Critique : Gen V – Saison 2
Cette saison 2 de Gen V confirme ce que je pensais de la première : la série n’avait pas assez de souffle pour tenir sur la durée.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Cette saison 2 de Gen V confirme ce que je pensais de la première : la série n’avait pas assez de souffle pour tenir sur la durée.
Alors oui, Smashing Machine traîne un peu quand ça cause cœur, mais voir The Rock livrer une performance aussi habitée, c’est un choc.
J’ai retrouvé Ghost of Tsushima, dans un décor légèrement différent. Pas honteux, mais fainéant. Un fantôme du fantôme, en somme.
Cette saison 2 de Peacemaker m’a clairement moins convaincu que la première. Elle reste rythmée, mais souffre d’un manque de fond.
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Silent Hill f marque un retour audacieux et inspiré pour la licence. NeoBards réussit en effet à livrer l’un de ses meilleurs épisodes.
Une bataille après l’autre s’avère être un film soigné, porté par des performances solides, mais qui peine à s’affirmer pleinement.
Marvel Zombies, c’est un festin. Pas parfait, mais sacrément goûtu. Et je suis déjà prêt à en reprendre une part.
En sortant du film, je me suis dit que Sirāt était peut-être une œuvre radicale, conçue pour hanter. Sauf que moi, il m’a surtout anesthésié.
Senua’s Saga : Hellblade II reste une expérience marquante, même si le souffle de surprise du premier épisode s’est un peu estompé.