Critique : Le jeu de la dame
Si l’emballage sixties m’a envoûté, j’ai vite déchanté car au final, c’est un faux biopic traînant beaucoup des pieds.
Si l’emballage sixties m’a envoûté, j’ai vite déchanté car au final, c’est un faux biopic traînant beaucoup des pieds.
Le Labyrinthe était une bonne surprise, décomplexée et fun. Malheureusement, sa suite ne court pas sur le même chemin.
Suite au succès d’Hunger Games, des sosies n’ont pas tardé à apparaître. On a eu droit à Divergente et aujourd’hui, Le Labyrinthe.