Critique : Last Night in Soho
Heureusement qu’il y a le génie d’Edgar Wright pour remonter le niveau d’un Last Night in Soho tiré par le bas à cause de son histoire.
Heureusement qu’il y a le génie d’Edgar Wright pour remonter le niveau d’un Last Night in Soho tiré par le bas à cause de son histoire.
Avec Miss Pérégrine et les Enfants Particuliers (ça, c’est du titre à rallonge), le réalisateur aux cheveux jamais coiffés revient au top.
Tim Burton a quitté sa femme pour son assistante. J’ai fait les gros yeux en apprenant la nouvelle. Ça tombe bien, c’est le thème de son nouveau film.
Paul Andrew Williams s’est distingué avec des films d’horreur. Le voir signer un feel-good movie a de quoi surprendre…
Le film installe une bonne atmosphère paranoïaque ressemblant étrangement à l’univers de Dark City. Heureusement qu’on s’en éloigne sensiblement par la suite.