Critique : Only God Forgives
Si on est salaud, on pourrait résumer Only God Forgives comme une succession de beaux tableaux avec une BO mais sans narration intéressante.
Si on est salaud, on pourrait résumer Only God Forgives comme une succession de beaux tableaux avec une BO mais sans narration intéressante.
Derek Cianfrance était attendu après son sublime Blue Valentine, il offre une histoire d’un autre genre mais toujours avec Ryan Gosling.
Ruben « Bienvenue à Zombieland » Fleischer derrière un film hollywoodien avec un casting de cet acabit, on ne peut qu’être curieux.
Véritable coup de cœur au cinéma. Je me suis littéralement jeté sur son blu-ray pour pouvoir le revoir le plus rapidement possible.
Les marches du pouvoir est bien réalisé, bien joué et servi par une bonne musique mais souffre d’un scénario convenu.
Quelle agréable surprise de tomber sur des comédies romantiques relevant le niveau de ses confrères. Le meilleur de Hollywood dans le genre.
Drive n’est pas un film d’action spectaculaire. Il se rapproche du polar à l’ancienne avec une belle histoire d’amour et réalisation.
Le film marque, non le mot est trop faible, il traumatise en nous livrant un portrait sans tabou d’une histoire d’amour.