Critique : La Demoiselle et le Dragon
Un produit Netflix misant avant tout sur Millie Bobby Brown. Bref, un truc calibré où l’histoire peine à convaincre.
Un produit Netflix misant avant tout sur Millie Bobby Brown. Bref, un truc calibré où l’histoire peine à convaincre.
Wonder Woman 1984 rejoint la longue liste de films de super-héroïne complètement foirés. Aux côtés d’Elektra, Catwoman et Supergirl.
Comme disait un grand philosophe, je ne m’attendais à rien, mais je suis quand même déçu. Pourtant, j’ai tout fait pour éviter la hype.
Après Wonder Woman, mais avant Batman v Superman, il y a Wonder Woman 1984. En effet, les prochaines aventures de Diana se déroulent en 1984.
Donner suite à un monument de la SF relève du pari risqué. Seulement, c’est Denis « Premier Contact » Villeneuve qui s’y colle.
Wonder Woman fait rêver en apparence. Mais malheureusement, il n’est pas assez convaincant pour conclure que c’est un bon film.
Comme d’habitude, je serais avec franc avec toi, lecteur. Je vais donc devoir nager à contre-courant avec ma critique de Wonder Woman.
Après avoir entretenu une ambiance très mystérieuse dans la première bande-annonce, Blade Runner 2049 explose dans la seconde.
La nouvelle bande-annonce de Wonder Woman axée sur ses origines a été aussi montrée durant les Kids’ Choice Awards, les Oscars des mômes.
Wonder Woman revient avec une seconde bande-annonce. Qui dit deuxième bande-annonce, dit effets spéciaux plus avancés.