Critique : Jungle Cruise
Malgré un bon départ, je me suis vite emmerdé devant l’adaptation de l’attraction Disney, Jungle Cruise. La faute aux défauts trop lourds.
Malgré un bon départ, je me suis vite emmerdé devant l’adaptation de l’attraction Disney, Jungle Cruise. La faute aux défauts trop lourds.
Bloody Milkshake souffle le chaud et le froid. Il offre des séquences magnifiques mais souffre de trop de longueurs.
N’aimant guère le rap, je pensais m’ennuyer devant N.W.A : Straight Outta Compton. Surtout que ça dure 2h27, mais pas du tout.
Mon dernier film catastrophe remonte, c’était en 2009 avec 2012. Du coup, San Andreas se place sur un créneau déserté. Un peu d’originalité ?
Le reboot redouté était réussi. Ce deuxième opus continue sur sa lancée et devrait s’affranchir des défauts du premier donc être meilleur.
Dans l’ombre de Mary revient sur la création d’un des plus grands chefs d’œuvre du cinéma. Ici, Mary Poppins.
Encensé, 12 Years A Slave débarque avec fracas dans nos salles. La cacophonie était-elle méritée ? Portrait du nouveau Steve McQueen.
Difficile de ne pas baver malgré un titre rasoir et une affiche donnant envie de fuir en courant car le pitch de Le Congrès est fou.
C’est quoi ce spoiler dans le titre, non mais ils auraient pu faire un effort quand même. Ben si c’est comme ça, je ne le regarde pas.
Encore un film sur la dépression financière! Pfff on en a soupé. Après tout, on avait bien eu le droit à Inside Job et Margin Call.