Critique : Piégée
À ranger parmi les mauvais Soderbergh. Tu enlèves le casting, il n’y a plus rien à voir dans ce sous Jason Bourne du pauvre.
À ranger parmi les mauvais Soderbergh. Tu enlèves le casting, il n’y a plus rien à voir dans ce sous Jason Bourne du pauvre.
Critique de Wall Street 2: l’argent ne dort jamais par Marvelll. Dans cette suite, on retrouve le rapace Gordon Gekko à sa sortie de prison.