Critique : Abigail
De l’horreur fun et décomplexée avec un casting sympathique porté par une géniale Alisha Weir dans le rôle d’Abigail.
De l’horreur fun et décomplexée avec un casting sympathique porté par une géniale Alisha Weir dans le rôle d’Abigail.
Le Nouveau Royaume se sert de bonnes idées, comme éviter le reboot, afin de livrer une aventure, même si classique, captivante.
Avec un joli casting, Captives parle de pédophilie. Une réussite au niveau de La Chasse, un autre films qui a osé s’attaquer à la pédophilie ?
L’univers de Guillermo Del Toro dans la petite lucarne, une proposition digne du Parrain, Don Corleone. Oui, vu qu’on ne peut pas la refuser.
Darren Aronofsky a réussi en peu de films à s’installer comme une valeur sûre. Par contre, c’est la première fois qu’il fait un blockbuster.
Fruitvale Station est le nom de la station à San Francisco où est mort un jeune homme durant la nuit du Nouvel An 2009. Que s’est-il passé ?
Resident Evil: Retribution était flippant, surtout après le naufrage du précédent. Un naufrage plus impressionnant que celui du Titanic.
Cosmopolis promettait être le retour de Cronenberg après le moyen A Dangerous Method. De plus, il marquait la mue de la star de Twilight.
Alors qu’on pouvait s’attendre à un blockbuster enfantin, irritant les adultes par tant de mièvrerie, Real Steel arrive à l’éviter.
Avec ce film, je n’ai pas tiré le bon numéro : le plus mauvais long-métrage de cette année pour l’instant !