Critique : Hunger Games : L’embrasement
Hunger Games fut une véritable bonne surprise malgré des scènes d’action illisibles. Heureusement, on a changé de réalisateur.
Hunger Games fut une véritable bonne surprise malgré des scènes d’action illisibles. Heureusement, on a changé de réalisateur.
Pour Only Lovers Left Alive, Jim Jarmush réunit le dieu Loki et l’extra-terrestre Tilda Swinton pour un truc surfant sur Twilight façon indé.
Réalisateur avec son jumeau de Le Livre d’Eli, Allen Hughes fait cavalier seul pour un thriller réunissant Mark Wahlberg et Russell Crowe.
Extrêmement fort et incroyablement près est un film bourré de clichés, naïf et ouvertement humaniste pourtant la sauce prend.
Les marches du pouvoir est bien réalisé, bien joué et servi par une bonne musique mais souffre d’un scénario convenu.
Duncan Jones prend de plus en plus de l’ampleur. Celui qu’on appelait le fils à David Bowie commence à se dégager de l’ombre du père.