Critique du Baron : Mass Effect Andromeda
Fan inconditionnel de la trilogie, Mass Effect Andromeda qui prenait une autre orientation m’intriguait et dès sa sortie, je l’ai acheté.
Fan inconditionnel de la trilogie, Mass Effect Andromeda qui prenait une autre orientation m’intriguait et dès sa sortie, je l’ai acheté.
En manque de jeu de rôle/action depuis la conclusion épique de la saga Mass Effect, je désespérais. Puis, Dragon Age: Inquisition est arrivé.
C’était le FIFA 14 le plus attendu de cette année. Avec son nouveau moteur : Ignite, monts et merveilles nous étaient promis. Qu’en est-il réellement ?
Battlefieeeeeeeld ! Battlefieeeeeeeld ! Il est temps de se faire la gueeeeeerre ! Battlefieeeeeeeld ! Il est temps de tester le solo !
Si tu espères avoir une critique puérile du style : c d la merde, c un patch à 70 boules, tu peux d’ors et déjà passer ton tour. Par contre, si tu veux…
Un énorme dilemme se pose: comment donner un second souffle à cette saga dont le deuxième épisode manquait sincèrement d’innovations ?
Ayant zappé le renouveau de la série l’année dernière, j’étais enthousiaste à l’idée de retâter du Medal of Honor surtout que je n’ai toujours pas pu oublier l’épisode où on revivait le débarquement de Normandie.
Syndicate me branche pas mal grâce à son ambiance mais surtout le label : Starbreeze Studios, le studio derrière Riddick et The Darkness.
Le deuxième épisode m’avait un peu déçu car il ne résolvait en rien l’intrigue des Moissonneurs. En gros, on passait notre temps à récupérer les membres de l’équipage et à accomplir les quêtes qui leur sont associés.
Étant un adorateur devant les éternels Street of Rage et Metal Slug, dès qu’il y a un jeu s’en approchant qui sort, je me jette dessus. J’avais raté le premier mais ce ne sera pas le cas pour celui-ci.
Avec un peu de retard, je me suis attaqué à Battlefield 3 mais au lieu de la faire sur PS3, j’ai décidé de prendre la version PC.
Les Need for Speed ont toujours été synonyme de gros défouloir avec des caisses complètement tunées et des vitesses hallucinantes. Et ce, quel que soit le dérivé.