Critique : World War Z
Depuis Walking Dead, les zombies sont redevenus à la mode et cela a donné naissance de World War Z, premier blockbuster du genre.
Depuis Walking Dead, les zombies sont redevenus à la mode et cela a donné naissance de World War Z, premier blockbuster du genre.
Après le four de L’Assassinat de Jesse James…, c’est un Andrew Dominik amer qui revient avec sa mort en douce.
C’est parti pour redécouvrir Le Stratège en insistant sur le côté technique. La qualité de l’image et du son est excellente. Il n’ y a vraiment rien à reprocher.
Il est surprenant de voir un tel film sortir en France surtout au vu de son sujet : les coulisses des clubs de baseball, un sport américain.
Le film commence par un long voyage visuel et musical : une certaine idée du trip métaphysique qui vous fera voyager jusqu’à l’aube de notre planète.
À sa sortie, le film a remué les foules. Je me rappelle l’avoir visionné sur ma petite télé dans ma chambre avec une antenne pourrie. Cela renforçait son ambiance malsaine.
À la fin du visionnage de Légendes d’automne, on en vient à regretter qu’il n’existe pas plus de films de ce genre. Baz Luhrmann avait essayé avec Australia, mais s’y était cassé les dents