Critique : Daredevil : Born Again – S1.E8 « L’Île de la joie »
Le meilleur épisode jusqu’ici. Et ça fait du bien après la déception du précédent. Le basculement vers la nouvelle équipe est net.
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Le meilleur épisode jusqu’ici. Et ça fait du bien après la déception du précédent. Le basculement vers la nouvelle équipe est net.
Derrière ces deux lettres se cache la série de Mohammed Amer, un humoriste qui s’est basé sur sa propre vie pour créer Mo.
Un épisode décevant… permettant de comprendre pourquoi Marvel Studios a bouleversé la production en changeant l’équipe créative.
Deux épisodes différents : le premier est un sympathique stand-alone façon Annual tandis que le second fait monter la pression.
Severance est assurément l’une des meilleures séries actuelles. Cette deuxième saison confirme que la première n’était pas un heureux hasard.
Un gros épisode avec, étonnamment, deux séquences très amusantes. Mais pas gratuitement : il s’agit d’illustrer une montée en pression.
L’épisode du jour livre un procès passionnant grâce aux thèmes qu’il soulève, tout en maintenant une bonne tension malgré sa prévisibilité.
La nouvelle série de Michael Schur (Parks and Recreation, The Good Place et Brooklyn Nine-Nine) est du même acabit que ses prédécesseurs.
Le diable est de retour. Ça commence avec quinze folles premières minutes et la suite installe plusieurs intrigues diablement excitantes.
Il n’y a pas grand-chose à dire, si ce n’est : masterclass. Le terme peut paraître galvaudé, mais il est ici parfaitement justifié.