Critique : Kenny Powers – Saison 1 & 2
Après une première saison moyenne plombé par un Kenny Powers trop lourd pour qu’on puisse s’y attacher, la série prend son envol.
Chez Le blog de Marvelll, on bouffe des séries à toutes les sauces. À force, on finit par enchaîner les claques comme, par exemple, avec Game of Thrones, Breaking Bad et Daredevil. On en profite donc pour lister ici toutes les violences physiques qu’on a subies.
Après une première saison moyenne plombé par un Kenny Powers trop lourd pour qu’on puisse s’y attacher, la série prend son envol.
Dexter s’essouffle, Columbo est mort, Sherlock Holmes est devenu Iron Man, le détective à l’ancienne est une race éteinte.
Attendez, peut-être qu’avant de parler de la saison 8, il serait bien de vous présenter cette série très méconnue en France.
La nature prouve qu’elle nous veut du bien puisqu’en nous donnant des larmes elle nous donne le meilleur : la sensibilité.
L’acteur avait explosé avec la série Spartacus – Blood and Sand puis un cancer lui avait été diagnostiqué. Sa femme a fait un communiqué.
La série doit beaucoup au personnage de Nathan, parfait jeune loser. Ses répliques sont parmi les meilleures jamais sorties.
Une série plombée par un manque de détails mais qui réussit sa mission à nous livrer une saga sur la puissante famille Kennedy.
Glee continue son bonhomme de chemin en nous livrant à chaque épisode un peu de bonheur, de larmes, de rires et surtout… de musique.
Série de Seth Green et Matthew Senreich, Robot Chicken est une série animée détonante qui suit les traces de leur père à tous : South Park.
Ils sont rares les séries qui, tels des chiens enragés, parviennent à vous saisir à la gorge pour ne plus vous lâcher jusqu’à la fin.