Critique : Homeland – Saison 1
Vainqueur de 4 Emmy, Homeland est une série dont l’un des créateurs a été longtemps scénariste sur 24 heures chrono.
Vainqueur de 4 Emmy, Homeland est une série dont l’un des créateurs a été longtemps scénariste sur 24 heures chrono.
Les insectes reviennent et ne sont pas contents parce qu’ils ont dû se taper des DTV de merde donc C’EST LA VENGEANCE !
La suite des aventures de Lee et Clementine, avons-nous le droit a un épisode aussi excellent que les précédents ?
Un écrivain has-been déménage dans une maison ayant abrité un meurtre affreux et découvre dans le grenier des snuff movies…
Nouvel opus de la simulation de basket-ball sans concurrent, vaut-il mieux être derrière l’écran ou sortir pour jouer au basket ?
La suite du jeu phénomène arrive… et alors, c’est bien ou pas ? C’est toujours aussi répétitif ? Ou ça défoule ?
Visuellement, c’est magnifique. « Sonoriquement », c’est splendide (VO indispensable). « Bonusiquement », c’est chargé.
Une comédie sur un ton léger, tellement léger qu’on a parfois l’impression de flotter seulement certaines lourdeurs nous renvoient sur terre.
Do Not Disturb repose sur une idée simple et amusante : et si deux meilleurs amis complètement hétéross décidaient de faire un film porno gay.
Après avoir visité Paris et accessoirement retrouvé sa fille paumée dans les rues de la capitale, Liam Neeson va visiter Istanbul.