Critique épicée : Insidious : Chapitre 2
Les suites de films d’horreur sont rarement aussi réussies que l’original. Qu’en est-il de ce deuxième chapitre d’Insidious ?
Les suites de films d’horreur sont rarement aussi réussies que l’original. Qu’en est-il de ce deuxième chapitre d’Insidious ?
Film le plus rentable de 2011, Insidious reprend là où il s’est arrêté et lève le voile sur les mystères non résolus dans une suite légitime.
FIFA s’améliore encore plus malgré l’apparition de nouveaux bugs. Il s’équilibre désormais au niveau du jeu.
En dépit de son excellente idée de départ, Machete se révélait finalement très vite limité. Quel est donc l’intérêt d’entamer une suite ?
Breaking Bad vient de s’achever. L’occasion de revenir sur l’une des plus grandes séries de l’histoire de la télévision. La plus grande ?
Le maître incontesté des Open World, c’est lui. Le jeu de l’année, c’est sans doute lui. La déception GTA 4 est oubliée.
Chucky a toujours exercé une fascination chez moi. À cause de lui, je crains toutes les poupées que je rencontre. Fascination encore vivace ?
En écrivant la critique de Chucky, je me suis rappelé d’un souvenir d’enfance sur un film qui m’a fait flipper comme jamais.
Voir un Woody Allen, c’est jouer à pile ou face. Pile, ça serait excellent. Face bof. Alors pour Blue Jasmine, pile ou face ?
S’il y a une série à retenir pour 2013, c’est sans doute celle-là. Joss Whedon y raconte le quotidien des agents du SHIELD.