Critique : Hanna
Si Léon et Nikita avaient un enfant, elle s’appellerait Hanna. Le film tourne autour d’une fille élevée depuis sa naissance à tuer.
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Si Léon et Nikita avaient un enfant, elle s’appellerait Hanna. Le film tourne autour d’une fille élevée depuis sa naissance à tuer.
Le film marque, non le mot est trop faible, il traumatise en nous livrant un portrait sans tabou d’une histoire d’amour.
Le côté ultra kitsch de l’ensemble fait mouche avec des répliques très bien senties, un humour inattendu et un trio d’acteur magnifique.
Un film encore actuel grâce à une animation sans faille et une histoire à portée universelle. Dumbo fait désormais partie de la culture.
Après la purge Alice au Pays des Merveilles par Tim Burton, il fallait que je revoie l’original pour revenir au vrai Pays des Merveilles.
Mathew Vaughn ne voulait pas être le gars qui a réalisé le pire épisode de la saga des X-Men. Il a fini par réaliser le meilleur.
Senna est un des plus grands pilotes de tous les temps, il était donc normal qu’il devait bénéficier d’un documentaire digne de sa légende.
Le film commence par un long voyage : une certaine idée du trip métaphysique qui vous fera voyager jusqu’à l’aube de notre planète.
Quel plaisir de voir un Woody Allen majeur, encore plus quand celui-ci se déroule dans notre capitale, Paris.
Il est rare les films qui nous tiennent en haleine du DEBUT jusqu’à la FIN. Blood Island ne mérite pas son titre français ultra racoleur.