Critique : Ave, César!
Dernier épisode de la Trilogie des Idiots, Ave, César! remonte le temps pour plonger dans l’âge d’or d’Hollywood avec un tas d’idiots.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Dernier épisode de la Trilogie des Idiots, Ave, César! remonte le temps pour plonger dans l’âge d’or d’Hollywood avec un tas d’idiots.
Après avoir tangué durant des années, la branche animation de Disney s’est rattrapée et commence à se faire un sérieux catalogue.
Au lieu de faire comme tout le monde et aller voir Deadpool, Epice préfère avoir la Chair de poule. Est-ce que le détour valait le coup ?
Ce week-end, Deadpool s’est régalé devant le box-office, a dû réfuter les rumeurs concernant un Director’s Cut et a reçu un premier CV.
Après une apparition cata dans X-Men Origins: Wolverine, Ryan Reynolds retente le coup avec Tim Miller. Pour le Marvel de l’année ?
Une fournée avec Civil War, X-Men : Apocalypse, Deadpool, Jason Bourne, 10 Cloverfield Lane et la pub de malade avec Ant-Man vs Hulk !
Ce n’est pas le mauvais biopic Wikipédia avec Kutcher qui a levé le mystère sur le mythe Steve Jobs. J’osais donc espérer plus de celui-ci.
Après un moyen métrage dans l’univers de Matrix (Kaydara), Seth Ickerman est sur un nouveau projet de science-fiction encore plus ambitieux.
À l’évocation de Chair de poule, c’est mon enfance qui remonte, la nostalgie qui me prend dans ses bras. Face au film, je suis donc partagé.
Avec un sujet brûlant basé sur une histoire vraie, un gros casting et des critiques dithyrambiques, Spotlight est un must-see.