Critique : Play Dirty
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Une bataille après l’autre s’avère être un film soigné, porté par des performances solides, mais qui peine à s’affirmer pleinement.
Downton Abbey III : Le Grand Final réussit à offrir une conclusion émouvante à une saga qui a marqué des générations de téléspectateurs.
Elle entend pas la moto est bien plus qu’un documentaire sur la surdité : c’est un portrait de famille, fragile et puissant à la fois.
En sortant du film, je me suis dit que Sirāt était peut-être une œuvre radicale, conçue pour hanter. Sauf que moi, il m’a surtout anesthésié.
Franchement, j’avais vraiment envie d’aimer McWalter. Mais au final, je suis resté un peu sur ma faim. Dommage car il y a beaucoup d’idées.
Avec Évanouis, Zach Cregger confirme qu’il n’était pas l’homme d’un seul coup d’éclat. Après Barbare, il prouve sa maîtrise du mystère.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.