Critique : Au-delà
Clint Eastwood, ces deux mots me suffisent pour aller voir un film. Au-delà nous propose de suivre trois personnages sur le thème de la mort.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Clint Eastwood, ces deux mots me suffisent pour aller voir un film. Au-delà nous propose de suivre trois personnages sur le thème de la mort.
Ce film m’avait marqué lors de sa première vision, je n’étais alors qu’un adolescent boutonneux. J’avais donc hâte de me le refaire.
Bien en deçà de ce qu’on pouvait attendre d’un Ghibli, il fait partie de leurs œuvres mineures comme Les Contes de Terremer.
De l’humour et de l’action, c’est tout ce qu’on lui demande et Michel Gondry remplit ses objectif avec brio. Un excellent pop-corn movie.
Nouvelle comédie de et avec Michael Youn, Fatal reprend le personnage cultissisme auprès de nos chers têtes blondes, Fatal Bazooka.
Lancé à toute vitesse avec l’agression de la famille Shelton, Que Justice Soit Faite chope aux tripes avant de provoquer la consternation.
Sofia Coppola nous fait partager le quotidien d’une star pour démontrer que leurs quotidiens sont loin d’être glamour.
Si vous vous attendez à une bonne comédie bien poilante, ce n’est pas le cas ici. Même les sourires se font très rares.
Quel plaisir de revoir cette famille hors norme (un casting vraiment excellent), mais on est loin de retrouver l’excellence du premier opus.
L’anti-Twilight par excellence. Une histoire d’amour qui fait l’impasse sur le puritanisme cher à la saga qui fait mouiller les midinettes.