Critique : Sur la route
En adaptant ce monument de littérature, Walter Salles a pris un sacré risque et il s’en est plutôt pas mal sorti.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
En adaptant ce monument de littérature, Walter Salles a pris un sacré risque et il s’en est plutôt pas mal sorti.
Cosmopolis promettait être le retour de Cronenberg après le moyen A Dangerous Method. De plus, il marquait la mue de la star de Twilight.
Avec la bande annonce, j’avais la désagréable sensation comme un sixième sens de l’Araignée que le nouveau Men In Black y montrait tout.
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.
Amanda est à l’affiche de cet énième thriller et c’est déjà pour beaucoup un argument de poids (40 kilos toute mouillée).
Quelle performance de Laurence Fishburne en Thurgood Marshall ! Juriste ayant été le 1er homme de couleur à siéger à la Cour suprême.
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
À ranger parmi les mauvais Soderbergh. Tu enlèves le casting, il n’y a plus rien à voir dans ce sous Jason Bourne du pauvre.
Indian Palace est une adaptation d’un roman avec un flegme typiquement britannique et une belle brochette d’acteurs anglais.
The Vow respire le cliché. Un élément péjoratif dont on peut passer outre à condition de trouver d’autres avantages.