Critique : Robot and Frank
Robot and Frank est un joli conte moderne sur une amitié hors du commun, sur la vieillesse, la maladie et… les robots.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Robot and Frank est un joli conte moderne sur une amitié hors du commun, sur la vieillesse, la maladie et… les robots.
Premier film de Vera Farmiga d’après les mémoires de Carolyn S. Briggs. On s’attend au film un peu chiant, intéressant mais un peu chiant.
Sur un sujet emballant et avec un casting plutôt pas mal, Voisins du troisième type foire dans les grandes largeurs.
Ted, la peluche ayant fait fureur au pays de l’oncle Sam, débarque enfin chez nous, précédée d’une excellente réputation.
Des hommes sans loi, malgré son casting bankable, est surtout le nouveau film de John Hillcoat, derrière l’excellent La Route.
Samuel L. Jackson et Luke Wilson, une affiche classe, un synopsis prometteur et un titre rappelant J’ai rencontré le diable. J’en suis.
Vendu comme un film d’action sympathique, Premium Rush est comme prévu… un film d’action sympathique. Comme Cliffhanger.
Le retour du réalisateur William Friedkin se fait avec Killer Joe. Le bonhomme ne s’est jamais démarqué hormis sur deux fulgurances.
The We and the I, littéralement Le Nous et le Je. Derrière ce joli titre se cache une excellente idée sublimée par Michel Gondry.
Un film Quentin Dupieux est à ce qu’il paraît un voyage atypique ne répondant pas aux structures narratives actuelles.