Critique : Moi, moche et méchant 4
Devant Moi, moche et méchant 4, j’ai ressenti une certaine lassitude, car les nouveautés se comptent sur les doigts d’une main.
Toutes les critiques des films sortis durant l’année 2024 en France.
Devant Moi, moche et méchant 4, j’ai ressenti une certaine lassitude, car les nouveautés se comptent sur les doigts d’une main.
Vu Un prince à New York 2, j’étais inquiet pour ce Flic de Beverly Hills 4. Si ce n’est pas aussi mauvais, ce n’est pas mémorable non plus.
Basé sur une histoire vraie, The Bikeriders par Jeff Nichols raconte l’âge d’or d’un groupe de motards avec une distribution exceptionnelle.
Ce préquel (raaaah, encore un !) n’apporte rien à la franchise, et son drame intimiste encourage l’endormissement.
Une suite réussie dans la lignée de son prédécesseur, illustrant brillamment le passage à l’adolescence. Bref, un Pixar émouvant et drôle.
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
Un Bad Boys dans la lignée du précédent. Quoi d’étonnant vu que toute l’équipe revient, que ce soit devant ou derrière la caméra.
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Atlas donne l’impression de regarder un film d’action SF un peu nanardesque des années 90 comme Judge Dredd ou Universal Soldier.
De l’horreur fun et décomplexée avec un casting sympathique porté par une géniale Alisha Weir dans le rôle d’Abigail.