Critique : bref. 2
Il n’y a pas grand-chose à dire, si ce n’est : masterclass. Le terme peut paraître galvaudé, mais il est ici parfaitement justifié.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Il n’y a pas grand-chose à dire, si ce n’est : masterclass. Le terme peut paraître galvaudé, mais il est ici parfaitement justifié.
La saison 1 est terminée, donc je peux maintenant le crier : la première saison de Votre fidèle serviteur Spider-Man est excellente !
Paddington au Pérou connaît un changement critique vu que le réalisateur Paul King a quitté l’aventure pour Wonka.
Une suite tout aussi formidable que Bridget Jones Baby, qui amène Bridget sur de nouvelles voies : celle de la mère célibataire et du deuil.
Votre fidèle serviteur Spider-Man continue de me ravir avec quatre sympathiques invités cette semaine, sans oublier un combat mémorable.
« Vous n’êtes pas Steve Rogers » proclame Ross à Sam Wilson. Cela résume ce Brave New World qui est un Captain America sans inspiration.
Round8 Studio a fait fort avec Lies of P. En effet, on pourrait croire qu’il s’agit d’un Souls développé par FromSoftware.
« Les Avengers ne viendront pas ». Cette réplique de la deuxième bande-annonce pour Thunderbolts*, prononcée par Val, pose le ton.
Après Invisible Man, j’étais curieux de voir ce que Leigh Whannell allait faire avec le loup-garou. Malheureusement, pas une réussite.
Cette fournée de trois nouveaux épisodes confirme mon ressenti. Votre fidèle serviteur Spider-Man est clairement une bonne série Spider-Man.