Critique : FUBAR – Saison 1
J’ai commencé FUBAR parce qu’Arnold Schwarzenegger (pas besoin d’en dire plus) dont c’est la première série télévisée en tête d’affiche.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
J’ai commencé FUBAR parce qu’Arnold Schwarzenegger (pas besoin d’en dire plus) dont c’est la première série télévisée en tête d’affiche.
Ça me semblait difficile de faire pire que le 9. Heureusement, le X n’y arrive pas. Mais ce n’est pas beaucoup mieux non plus.
Après Un homme en colère, Guy Ritchie refait équipe avec Tatane Man pour une sorte de Mission : Impossible où brille Hugh Grant.
Alban Lenoir refait équipe avec le directeur de la photo des Balle Perdue pour un polar efficace avec des scènes d’action bien emballées.
Une adaptation fidèle à la Super Marios Bros ? Pas du tout. Au lieu d’adapter le jeu, il s’agit d’adapter une histoire folle des coulisses.
Adam Driver. 93 minutes au compteur. De la Sci-Fi. Des dinos. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer ? Et bien, comment dire ?
Sans inspiration, Shazam! La rage des dieux se contente de balancer un récit super-héroïque sans jamais vraiment réussir nulle part.
Pour définir John Wick : Chapitre 4, je vais emprunter les mots du Baron Zemo : « C’est un chef d’œuvre, James. Total. Immense. ». *mic drop*
Le pitch impliquant le trio histoire vraie, cocaïne et ours nous promet un joyeux délire et c’est exactement ce que nous offre Cocaine Bear.
Luther : Soleil déchu m’a beaucoup déçu. Même s’il y a des bonnes idées, tout est expédié pour nous offrir un film d’action rythmé.