Critique : De l’univers de John Wick : Ballerina
Avec Ballerina, John Wick s’offre son premier spin-off cinématographique. Mais, sans être raté, le le film n’est pas à la hauteur.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Avec Ballerina, John Wick s’offre son premier spin-off cinématographique. Mais, sans être raté, le le film n’est pas à la hauteur.
Reprenant le style d’Arcane, Predator : Killer of Killers est un véritable déluge d’action fun qui n’oublie pas d’enrichir le lore Yautja.
La force du long-métrage de Gavin O’Connor repose clairement sur le duo Ben Affleck et Jon Bernthal, digne des meilleurs buddy movies.
La franchise Mission impossible fait son Endgame, mais n’a jamais réussi à totalement me captiver en raison de ses nombreux défauts.
Une deuxième saison inférieure à la première, souffrant particulièrement de sa structure de premier tiers d’une intrigue complète.
Après une saison 1 de haute volée, Andor confirme avec une saison 2 magistrale marquée par deux arcs d’un niveau exceptionnel.
Le moins bon des trois, sans être mauvais. Certes, il va plus loin avec des scènes d’action dingues, mais l’histoire perd de son efficacité.
Avec Sinners, Ryan Coogler signe sa Nuit en Enfer et livre un formidable film de vampires. Dommage que la première partie soit un peu longue.
Ravage ne semble pas savoir où se situer entre le film hard boiled et la parodie façon Jack Slater dans Last Action Hero.
Daredevil : Born Again s’achève sur un dernier épisode, un poil traumatisant, et mettant en valeur le Punisher. Vivement la saison 2.