Critique : Highest 2 Lowest
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
Le Murder Club du jeudi est un whodunit efficace et drôle, portée par un charmant casting où Helen Mirren brille un peu trop.
Une suite exemplaire. Nobody 2 reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier opus pour les transposer dans un cadre atypique.
Dragons réussit son passage en live-action avec une version qui m’a donné l’impression de regarder le Snyder Cut du film original.
Si j’avais adoré Death Stranding, je suis plus mitigé sur On the Beach, qui reprend les mêmes défauts… en pire, et le scénario recycle trop.
Une suite qui prend un virage à la T2 (le film de James Cameron, pas le tramway), en troquant l’horreur pour de l’action fun.
Créée par les Weitz Bros derrière American Pie, Murderbot : Journal d’un AssaSynth est une série atypique et originale.
Aucune tension ni même une sensation de danger comme si on était dans une attraction sur rails à la Star Tour qu’on connaît par cœur.
Bon ben comme prévu Gunn ne change pas sa recette à base d’humour sans finesse et de passages tire-larmes.
Superman ose en embrassant jusqu’au bout les origines comics de l’homme d’acier, au point de les transposer littéralement à l’écran.