Critique : The Shadow’s Edge
The Shadow’s Edge réussit ce que beaucoup d’actioners récents ratent : créer de la tension, de la lisibilité, et surtout de l’humanité.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
The Shadow’s Edge réussit ce que beaucoup d’actioners récents ratent : créer de la tension, de la lisibilité, et surtout de l’humanité.
Stranger Things 5 continue de me faire lever les yeux au ciel aussi fort que Vecna lève des enfants. Mais ça se regarde.
Je m’attendais à un petit jeu narratif sympa et je me retrouve avec un titre qui m’a accroché du premier au dernier épisode
Franchement, je n’y croyais plus. Après tant d’années d’errance, voir le Predator revenir aussi en forme, ça fait un bien fou.
A House of Dynamite reprend la structure de Rashomon pour mettre en scène un cauchemar moderne à travers un thriller tendu et captivant.
Ian Brennan signe une saison propre sur elle, joliment mise en scène, mais qui n’ose jamais plonger dans la folie de son sujet.
The Lost Bus est un film solide qui joue habilement sur la tension et l’émotion, porté par un duo Matthew McConaughey / America Ferrera.
Avec Marche ou crève, Francis Lawrence livre un film sans concession, même s’il n’arrive pas à retranscrire totalement la folie du roman.
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Une bataille après l’autre s’avère être un film soigné, porté par des performances solides, mais qui peine à s’affirmer pleinement.