Critique : Espion à l’ancienne – Saison 1
La nouvelle série de Michael Schur (Parks and Recreation, The Good Place et Brooklyn Nine-Nine) est du même acabit que ses prédécesseurs.
Le genre « policier » plonge les spectateurs dans des enquêtes captivantes, des mystères à résoudre et des intrigues remplies de suspense.
La nouvelle série de Michael Schur (Parks and Recreation, The Good Place et Brooklyn Nine-Nine) est du même acabit que ses prédécesseurs.
Le diable est de retour. Ça commence avec quinze folles premières minutes et la suite installe plusieurs intrigues diablement excitantes.
Un passionnant jeu d’enquête à l’ancienne, avec de superbes graphismes. Dommage de ne pas avoir insufflé un peu plus de vie dans l’histoire.
Une deuxième saison moins efficace, malgré l’arrivée de Frank Grillo et Neal McDonough, en raison de l’absence de dépaysement.
Une dernière extension, fort efficace, pour refermer le livre Alan Wake 2 avec une histoire inédite autour de la maison du lac.
Avec Black Ops 6, j’ai fêté mes retrouvailles avec une saga que j’avais lâchée en 2015. J’ai été agréablement surpris par la campagne.
Réconcilié avec M. Night Shyamalan après Knock at the Cabin, j’étais chaud pour Trap mais le résultat sombre dans le grande n’importe quoi.
Portée par deux excellents acteurs, Colin Farrell et surtout Cristin Milioti, The Penguin déroule une intrigue fort sympathique.
Une suite prenant bien plus de risques que son prédécesseur, mais malheureusement au final, on se retrouve devant un pantin désarticulé
Je suis pour l’instant intrigué par The Penguin et les personnages qu’elle déploie, surtout l’étonnante Cristin Milioti.