Critique : Daredevil : Born Again – S1.E7 « L’art pour l’art »
Un épisode décevant… permettant de comprendre pourquoi Marvel Studios a bouleversé la production en changeant l’équipe créative.
Le genre « policier » plonge les spectateurs dans des enquêtes captivantes, des mystères à résoudre et des intrigues remplies de suspense.
Un épisode décevant… permettant de comprendre pourquoi Marvel Studios a bouleversé la production en changeant l’équipe créative.
Une nouvelle saison dans la lignée des précédentes, mais l’ajout d’un méchant façon James Bond old school fait toute la différence.
Deux épisodes différents : le premier est un sympathique stand-alone façon Annual tandis que le second fait monter la pression.
Un gros épisode avec, étonnamment, deux séquences très amusantes. Mais pas gratuitement : il s’agit d’illustrer une montée en pression.
L’épisode du jour livre un procès passionnant grâce aux thèmes qu’il soulève, tout en maintenant une bonne tension malgré sa prévisibilité.
La nouvelle série de Michael Schur (Parks and Recreation, The Good Place et Brooklyn Nine-Nine) est du même acabit que ses prédécesseurs.
Le diable est de retour. Ça commence avec quinze folles premières minutes et la suite installe plusieurs intrigues diablement excitantes.
Un passionnant jeu d’enquête à l’ancienne, avec de superbes graphismes. Dommage de ne pas avoir insufflé un peu plus de vie dans l’histoire.
Une deuxième saison moins efficace, malgré l’arrivée de Frank Grillo et Neal McDonough, en raison de l’absence de dépaysement.
Une dernière extension, fort efficace, pour refermer le livre Alan Wake 2 avec une histoire inédite autour de la maison du lac.