Critique : The Boys – Saison 4
Une saison où l’intrigue tourne en rond pour tenir jusqu’à la prochaine (et dernière, heureusement) saison.
Le genre « policier » plonge les spectateurs dans des enquêtes captivantes, des mystères à résoudre et des intrigues remplies de suspense.
Une saison où l’intrigue tourne en rond pour tenir jusqu’à la prochaine (et dernière, heureusement) saison.
Vu Un prince à New York 2, j’étais inquiet pour ce Flic de Beverly Hills 4. Si ce n’est pas aussi mauvais, ce n’est pas mémorable non plus.
Basé sur une histoire vraie, The Bikeriders par Jeff Nichols raconte l’âge d’or d’un groupe de motards avec une distribution exceptionnelle.
Un Bad Boys dans la lignée du précédent. Quoi d’étonnant vu que toute l’équipe revient, que ce soit devant ou derrière la caméra.
L’extension Zone X pour Alan Wake 2 est un régal avec trois épisodes à la manière de La Quatrième dimension et totalement différents.
Avec The Gentlemen, Guy Ritchie adapte son meilleur film récent en série télévisée. Bref, un régal si l’on est fan du bonhomme.
City Hunter, incompréhensiblement traduit en Nicky Larson par Netflix, est une adaptation fort sympathique grâce à un énorme Ryohei Suzuki.
Une suite reprenant la formule de son prédécesseur pour la sublimer avec l’ajout de mini-jeux géniaux et de personnages charismatiques.
Night Country était prometteur entre la présence de Jodie Foster et un cadre déroutant. Malheureusement, elle se perd dans des longueurs.
Ce remake de la série Mr. & Mrs. Smith est exceptionnel. Il faut dire qu’ils ont réuni l’équipe derrière l’excellente série Atlanta.