Critique : Silent Hill f
Silent Hill f marque un retour audacieux et inspiré pour la licence. NeoBards réussit en effet à livrer l’un de ses meilleurs épisodes.
Silent Hill f marque un retour audacieux et inspiré pour la licence. NeoBards réussit en effet à livrer l’un de ses meilleurs épisodes.
En sortant du film, je me suis dit que Sirāt était peut-être une œuvre radicale, conçue pour hanter. Sauf que moi, il m’a surtout anesthésié.
Avec Évanouis, Zach Cregger confirme qu’il n’était pas l’homme d’un seul coup d’éclat. Après Barbare, il prouve sa maîtrise du mystère.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
Le Murder Club du jeudi est un whodunit efficace et drôle, portée par un charmant casting où Helen Mirren brille un peu trop.
La série Sandman se termine sans éclat, avec une intrigue trop molle malgré un bon début, mais je retiendrai quand même Délire.
Bring Her Back est un véritable bijou horrifique. Un film qui reste gravé dans ma mémoire avec une Sally Hawkins phénoménale.
Si j’avais adoré Death Stranding, je suis plus mitigé sur On the Beach, qui reprend les mêmes défauts… en pire, et le scénario recycle trop.
Une troisième saison avec des jeux efficaces et une maîtrise du rythme et de la tension donnant envie d’enchaîner tous les épisodes.
Une saison moins marquante que la précédente, en raison de nombreux épisodes peu convaincants, voire invraisemblables.