Critique : Silent Hill 2 (2024)
23 ans après Silent Hill 2, j’ai remis ça avec un remake efficace ne perdant jamais de vue ce qui avait fait le charme de l’original.
23 ans après Silent Hill 2, j’ai remis ça avec un remake efficace ne perdant jamais de vue ce qui avait fait le charme de l’original.
S’il faut subir une mise en place un peu lente, quand les pièces du puzzle se mettent en place, la tension monte tout comme les émotions.
The Acolyte vaut le coup d’œil pour ses duels au sabre laser. Par contre, il faut se taper des personnages aux comportements aberrants
L’extension Zone X pour Alan Wake 2 est un régal avec trois épisodes à la manière de La Quatrième dimension et totalement différents.
City Hunter, incompréhensiblement traduit en Nicky Larson par Netflix, est une adaptation fort sympathique grâce à un énorme Ryohei Suzuki.
Night Country était prometteur entre la présence de Jodie Foster et un cadre déroutant. Malheureusement, elle se perd dans des longueurs.
Quand le créateur de Mr Robot s’associe à un casting de stars, on peut s’attendre à des étincelles. Il y en a, mais pas que.
Un survival horror regorgeant d’excellentes idées au service d’une histoire dingue et d’une direction artistique de très haute volée
Malgré l’excellence de la réalisation et du premier chapitre, difficile de me passionner pour les aventures du tueur ringardisées par Hitman.
Werewolf by Night en couleurs permettra aux allergiques du noir et blanc de découvrir ce petit bijou explorant le monde horrifique de Marvel.