Critique : NWA : Straight Outta Compton
N’aimant guère le rap, je pensais m’ennuyer devant N.W.A : Straight Outta Compton. Surtout que ça dure 2h27, mais pas du tout.
N’aimant guère le rap, je pensais m’ennuyer devant N.W.A : Straight Outta Compton. Surtout que ça dure 2h27, mais pas du tout.
Après un bon film, Magic Mike revient avec ses amis et un slip XXL pour un road-movie dans un style moins sérieux, mais plus fun.
Après avoir cartonné dans Pitch Perfect, les Bellas reprennent du service en se faisant une suite à la Rocky.
Les comédies musicales ne sont pas mon trip, mais j’étais intrigué, car je voulais voir le résultat de la fusion de plusieurs univers Disney.
Frank est un récit respirant le mystère, fascinant au point qu’il devient difficile de ne pas vouloir découvrir le fin mot de l’histoire.
Une claque. Une expérience cinématographique rare. J’avais bouclé mon top 10 de 2014. Et voilà que… Et voilà que Whiplash a retenti.
Ce film ne me disait rien jusqu’au jour où j’ai découvert le nom du réalisateur : Tate Taylor (La Couleur des sentiments).
Clint Eastwood et Film musical, ça fait bizarre. Mais pourquoi pas ? Après tout, le pistolero le plus célèbre du monde touche à tout.
Monty Python, un nom qui résonne pour la comédie moderne. Tout le monde connaît la trilogie mais peu ont entendu parler de la série.
Il n’y a pas d’intrigue, juste des petites histoires parfois drôles, parfois tristes, et même les deux à la fois.