Critique : Nosferatu
Si visuellement, c’est absolument superbe, il est difficile pour moi d’en dire autant du reste, car sans surprise et sans émotions.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Si visuellement, c’est absolument superbe, il est difficile pour moi d’en dire autant du reste, car sans surprise et sans émotions.
La saison 1 de Creature Commandos trouve son rythme de croisière et sa formule en s’intéressant à ses « monstres ».
L’animation du Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim laisse clairement à désirer avec ses saccades, mais le film a des qualités.
The Veilguard est sympathique, mais clairement pas aussi prenant qu’Inquisition, à cause d’un gameplay répétitif et d’une histoire convenue.
C’est épatant de voir à quel point l’adaptation ciné de Sonic a été maîtrisée avec cet excellent troisième épisode.
Quelle belle surprise, ce Wicked ! Il faut dire que la performance des deux stars est phénoménale, avec un énorme coup de cœur pour Glinda.
Après Love, Death + Robots, Tim Miller remet ça dans l’univers des jeux vidéo, et c’est une excellente réussite avec quinze épisodes.
Une dernière extension, fort efficace, pour refermer le livre Alan Wake 2 avec une histoire inédite autour de la maison du lac.
Red One a connu une production chaotique, et cela se ressent. Il n’empêche qu’il a des points positifs, comme J.K. Simmons en Père Noël.
Une suite moins efficace, souffrant sans doute de ses origines mais offrant tout de même de nombreux bons moments et quelques rires.