Critique : Kenny Powers – Saison 4 – Finale
La série s’était superbement achevée avec la saison 3 mais, finalement, Kenny Powers est revenu pour un ultime baroud d’honneur. De trop ?
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
La série s’était superbement achevée avec la saison 3 mais, finalement, Kenny Powers est revenu pour un ultime baroud d’honneur. De trop ?
Nouvelle adaptation du roman de Stephen King, Carrie la vengeance ne se révèle pas être un grand film d’horreur mais offre suffisamment.
Au final, The Immigrant est probablement le plus mauvais James Gray (je suppute, n’ayant pas vu The Yards).
Malgré la présence de Tom Hanks, j’avais bien du mal à avoir envie de voir Capitaine Phillips. À cause d’une chose : Hijacking.
Après Oliver Stone et ses Savages, Ridley Scott s’attaque aussi, thématiquement parlant, au Cartel. Sur un scénario de Cormac McCarthy.
Les Anglais sont fortiches niveau comédie romantique. Alors quand un de ses plus grands noms en fait un, visionnage obligatoire !
Pour Only Lovers Left Alive, Jim Jarmush réunit le dieu Loki et l’extra-terrestre Tilda Swinton pour un truc surfant sur Twilight façon indé.
Jim Rash et Nat Faxon, auréolés d’un Oscar pour le scénario de The Descendants avec George Clooney, décident de passer à la réalisation.
La Vie d’Adèle, Palme d’or et chouchoute des critiques, vaut-elle le coup d’être vécue ? Est-elle plus intéressante que la vie d’Epice ?
Il n’y a pas d’intrigue, juste des petites histoires parfois drôles, parfois tristes, et même les deux à la fois.