Critique : The Boys – Saison 4
Une saison où l’intrigue tourne en rond pour tenir jusqu’à la prochaine (et dernière, heureusement) saison.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Une saison où l’intrigue tourne en rond pour tenir jusqu’à la prochaine (et dernière, heureusement) saison.
The Acolyte vaut le coup d’œil pour ses duels au sabre laser. Par contre, il faut se taper des personnages aux comportements aberrants
S’il me fallait faire un top 10 des meilleures séries de tous les temps, Atlanta y figurerait sans l’ombre d’un doute.
Basé sur une histoire vraie, The Bikeriders par Jeff Nichols raconte l’âge d’or d’un groupe de motards avec une distribution exceptionnelle.
Ce préquel (raaaah, encore un !) n’apporte rien à la franchise, et son drame intimiste encourage l’endormissement.
Pour sa première saison depuis le partenariat entre la BBC et Disney, Doctor Who propose des aventures anthologiques loufoques.
Une suite réussie dans la lignée de son prédécesseur, illustrant brillamment le passage à l’adolescence. Bref, un Pixar émouvant et drôle.
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
Cette deuxième partie de la trilogie Final Fantasy VII Remake corrige certains défauts de son prédécesseur, mais en ajoute.
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.