Critique : Macbeth (2015)
Avant Assassin’s Creed, Justin Kurzel, Michael Fassbender et Marion Cotillard adaptent une pièce de théâtre de Shakespeare.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Avant Assassin’s Creed, Justin Kurzel, Michael Fassbender et Marion Cotillard adaptent une pièce de théâtre de Shakespeare.
À ne pas confondre avec le film de Jodie Foster. On ne parle pas d’une femme dessoudant des mecs mais d’un chef descendant des huitres.
Alors que McFly et Doc Brown débarquent pour constater l’absence de voitures volantes, Bob Zemeckis livre sa nouvelle réalisation.
Après Il faut sauver le soldat Ryan et le film de Nolan, il va falloir à nouveau aller chercher Matt Damon pour le ramener à la maison.
Avec Beasts Of No Nation, son premier film, Netflix frappe fort. S’il ne s’agit pas d’un chef d’œuvre, c’est néanmoins un film marquant.
Même si ses films ne m’ont pas pleinement convaincu, j’ai bien du mal à ne pas être emballé par l’idée de voir un nouveau Denis Villeneuve.
Crimson Peak était un de mes films les plus attendus. Au final, il s’agit de ma plus grande déception et mon plus mauvais del Toro.
On est qu’en automne, mais au cinéma, on a déjà droit à la neige. Par contre, pas question de faire des boules, il faut affronter l’Everest !
Avec Narcos, Netflix livre une série majeure. Dès le 1er épisode, c’est une claque et on nous en refout une à chaque épisode.
N’aimant guère le rap, je pensais m’ennuyer devant N.W.A : Straight Outta Compton. Surtout que ça dure 2h27, mais pas du tout.