Critique : Silence
Quand le petit Martin sort un film, la loi m’oblige à me diriger vers le cinéma le plus proche et acheter un ticket.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Quand le petit Martin sort un film, la loi m’oblige à me diriger vers le cinéma le plus proche et acheter un ticket.
3 ans de suite, La La Land a trusté une place dans mon top 10 des films les plus attendus de l’année. Néanmoins, je craignais la déception.
Après avoir été déçu par The Abominable Bride, j’avoue avoir été sur la réserve en abordant cette quatrième saison de Sherlock.
Moonlight, le long-métrage de Barry Jenkins, est un vrai bijou qui m’a épaté par sa capacité à être incroyablement juste tout du long.
J’avais quitté les orphelins Baudelaire en 2004 avec un film où Jim Carrey cabotinait en Comte Olaf. Je les retrouve pour une série Netflix.
Nate Parker nous signe un coup de maître en trois casquettes : réalisateur, producteur et scénariste d’un chef d’œuvre historique à voir
Quand Peter Quill rencontre Mystique dans un vaisseau de Headstone : Avalon, il se passe des choses bien étranges comme… l’ennui.
Tom Ford m’avait ébloui avec son beau et émouvant A Single Man. Huit ans après, il offre son deuxième film, Nocturnal Animals.
Rien qu’avec l’annonce de Denis Villeneuve à la barre, on sait qu’on peut aller voir un film les yeux fermés. Premier contact n’y échappe pas.
HBO doit commencer à réfléchir à l’après Game of Thrones qui prend fin en 2018. Pour ce faire, elle a sorti l’atout Westworld de sa manche.