Critique : God of War : Ragnarök
God of War : Ragnarök donne malheureusement plus l’impression de joueur à un God of War 1.5 qu’une véritable suite.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
God of War : Ragnarök donne malheureusement plus l’impression de joueur à un God of War 1.5 qu’une véritable suite.
La Petite Nemo et le Monde des rêves est une adorable aventure dans Slumberland apportant une partie dramatique efficace.
Andor est une série Star Wars orientée vers le thriller politique et loin des paillettes de l’univers des Jedi. Une proposition bienvenue.
Une suite dans la lignée du premier opus. Donc si t’as aimé, tu vas aimer. Si t’as kiffé, tu vas kiffer. Si t’as détesté, tu vas détester.
Après la belle surprise A Plague Tale : Innocence, Asobo Studio remet ça en plus grand. Résultat, une aventure dantesque.
Avec cet ultime épisode d’excellente facture, la série Les Anneaux de Pouvoir s’est déjà hissée parmi mes séries préférées.
Parmi les séries télévisées de Marvel Studios, She-Hulk : Avocate fait figure d’anomalie, car elle se termine sur son meilleur épisode.
Voilà ce qu’aurait dû être Morbius. Werewolf by Night est une excellente porte d’entrée dans le MCU horrifique.
Que c’est triste. C’est la pensée qui m’a souvent traversé durant le visionnage de l’épisode du jour des Anneaux de Pouvoir.
Il est enfin là dans She-Hulk : Avocate ! Inutile de préciser de qui je parle, hein ? Je parle bien évidemment de… Leap-Frog !