Critique : Nobody 2
Une suite exemplaire. Nobody 2 reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier opus pour les transposer dans un cadre atypique.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Une suite exemplaire. Nobody 2 reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier opus pour les transposer dans un cadre atypique.
Ce Freaky Friday 2 ne réinvente pas la roue, mais réussit à faire ce qu’on attendait de lui avec une Jamie Lee Curtis hilarante.
Une comédie made in Sandler, bien meilleure que les précédentes qu’il a livrées pour Netflix. Du pur Sandman digne de sa belle époque.
Le miracle. Je croyais ce genre de comédie définitivement perdu, mais Seth MacFarlane et son équipe ont réussi à invoquer l’esprit des ZAZ.
Une quatrième saison exceptionnelle pour The Bear, un véritable tsunami émotionnel porté par des personnages toujours aussi attachants.
Créée par les Weitz Bros derrière American Pie, Murderbot : Journal d’un AssaSynth est une série atypique et originale.
Heads of State est un buddy movie porté par une réalisation inspirée, livrant des scènes d’action fun, et un duo sorti de Belle Reve.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Si son intrigue demeure classique, Deep Cover développe son idée originale pour offrir des moments sincèrement drôles.
Encore une fois, malgré trois saisons, Clarkson à la ferme a continué à me ravir grâce à la nouvelle lubie de Jeremy Clarkson.