Critique : Daredevil : Born Again – S1.E9 « Aller simple pour l’Enfer »
Daredevil : Born Again s’achève sur un dernier épisode, un poil traumatisant, et mettant en valeur le Punisher. Vivement la saison 2.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Daredevil : Born Again s’achève sur un dernier épisode, un poil traumatisant, et mettant en valeur le Punisher. Vivement la saison 2.
En toute franchise, je m’attendais à un nanar. Techniquement, c’est le cas. Seulement, l’alchimie prend. Notamment grâce à Jack Black.
Le meilleur épisode jusqu’ici. Et ça fait du bien après la déception du précédent. Le basculement vers la nouvelle équipe est net.
Généralement, ce genre de film reposant sur un pitch original peine à maintenir l’intérêt sur la durée, mais Novocaine fait le job.
Un épisode décevant… permettant de comprendre pourquoi Marvel Studios a bouleversé la production en changeant l’équipe créative.
Une nouvelle saison dans la lignée des précédentes, mais l’ajout d’un méchant façon James Bond old school fait toute la différence.
Deux épisodes différents : le premier est un sympathique stand-alone façon Annual tandis que le second fait monter la pression.
Un gros épisode avec, étonnamment, deux séquences très amusantes. Mais pas gratuitement : il s’agit d’illustrer une montée en pression.
300 millions de dollars. Les réalisateurs d’Infinity War et Endgame. The Electric State avait tout pour être le blockbuster roi.
À part quelques blagues et un combat final réussi, difficile de se laisser marquer par cette longue aventure dans un royaume désertique.