Critique : Évanouis
Avec Évanouis, Zach Cregger confirme qu’il n’était pas l’homme d’un seul coup d’éclat. Après Barbare, il prouve sa maîtrise du mystère.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Avec Évanouis, Zach Cregger confirme qu’il n’était pas l’homme d’un seul coup d’éclat. Après Barbare, il prouve sa maîtrise du mystère.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
Le Murder Club du jeudi est un whodunit efficace et drôle, portée par un charmant casting où Helen Mirren brille un peu trop.
Ça a l’air complètement fou, fun et surtout bien gore (le point faible de l’épisode de What If…?). Sans oublier les excellentes surprises.
La série Sandman se termine sans éclat, avec une intrigue trop molle malgré un bon début, mais je retiendrai quand même Délire.
Karate Kid : Legends, c’est une suite-remake doublée d’un crossover. Tout ce que le cinéma hollywoodien aime, condensé en un seul film.
Une suite exemplaire. Nobody 2 reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier opus pour les transposer dans un cadre atypique.
Ce Freaky Friday 2 ne réinvente pas la roue, mais réussit à faire ce qu’on attendait de lui avec une Jamie Lee Curtis hilarante.
Une comédie made in Sandler, bien meilleure que les précédentes qu’il a livrées pour Netflix. Du pur Sandman digne de sa belle époque.
Une mini-série qui ressemble beaucoup (trop) à What If… ?, avec même un caméo en clin d’œil, pour le meilleur et surtout pour le pire.