Critique : Nobody Wants This – Saison 2
La saison 2 de Nobody Wants This réussit à parler de l’amour après le grand geste romantique, et rien que pour ça, elle mérite le visionnage.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
La saison 2 de Nobody Wants This réussit à parler de l’amour après le grand geste romantique, et rien que pour ça, elle mérite le visionnage.
Je m’attendais à un petit jeu narratif sympa et je me retrouve avec un titre qui m’a accroché du premier au dernier épisode
Franchement, je n’y croyais plus. Après tant d’années d’errance, voir le Predator revenir aussi en forme, ça fait un bien fou.
Malgré des ratés, Guillermo del Toro livre une œuvre sublime et profondément humaine. Probablement, la meilleure adaptation de Frankenstein.
J’aurais aimé que ce second coup de fil me glace (hé, hé) le sang. À la place, il murmure quelques bonnes idées avant de raccrocher poliment.
Cette saison 2 de Gen V confirme ce que je pensais de la première : la série n’avait pas assez de souffle pour tenir sur la durée.
Alors oui, Smashing Machine traîne un peu quand ça cause cœur, mais voir The Rock livrer une performance aussi habitée, c’est un choc.
J’ai retrouvé Ghost of Tsushima, dans un décor légèrement différent. Pas honteux, mais fainéant. Un fantôme du fantôme, en somme.
Regretting You ne cherche jamais à sortir de sa zone de confort, mais réussit malgré tout à toucher, grâce à des moments d’émotion sincère.
Depuis un prank, on se retrouve avec une série drôle et touchante où Glen Powell se la joue Madame Doubtfire version football américain.