Critique : Soul
Un bon film m’ayant marqué par son propos adulte (le Pixar le plus mature jusqu’ici) et sa représentation du monde abstrait.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Un bon film m’ayant marqué par son propos adulte (le Pixar le plus mature jusqu’ici) et sa représentation du monde abstrait.
Encore une déception made in Nolan. L’idée de départ est géniale, l’exécution beaucoup moins. La faute à une intrigue globalement prévisible.
Il s’agit d’une série avec Temuera Morrison et Ming-Na Wen. Le tout produit par Jon Favreau, Dave Filoni et… Robert Rodriguez.
Le Blues de Ma Rainey fait partie de la liste des films préférés de Barack Obama en 2020 et c’est mérité. Mention spéciale à Boseman.
Après une entrée en fanfare dans mon cœur via sa première saison, The Mandalorian l’a totalement ravi sur cette deuxième.
Comment répondre à une problématique de plus en plus inquiétante du fait de la taille prise par l’Univers Cinématographique Marvel.
Purée, les annonces de Disney, cette année, c’est comme le ketchup. On presse, on presse, puis tout sort d’un coup, nous éclaboussant.
Malgré une histoire classique, le charme de Marraine ou presque m’a envoûté. En grande partie, grâce à une délicieuse Jillian Bell.
Le problème, quand on tourne à New York, c’est que les photos de tournage révèlent des détails. Surtout sur une série aussi attendue.
Après l’annonce du retour de Jamie Foxx en tant qu’Electro, c’est au tour d’un autre ennemi de Peter Parker de faire son come-back.