Sur Thor : Ragnarok, Tom « Loki » Hiddleston fait un flip de dagues bien badass comme il faut. C’est même devenu un des plans les plus iconiques du film et le move est désormais une spéciale du personnage. Il le refait d’ailleurs dans la série Loki.
Mais, l’histoire derrière ce move est particulièrement cocasse. C’est l’acteur lui-même qui l’a raconté à Entertainment Weekly. Accrochez-vous, vous n’allez pas en revenir. C’est clairement un truc de malade. De quoi remettre en question toutes vos perspectives. Voilà, c’était le moment putaclic de l’article. Sérieusement, ça n’a rien de ouf, mais c’est plutôt marrant.
Il était une fois sur un pont
Alors, il y a une grosse séquence sur le pont à la fin du film [NdM : Thor : Ragnarok], et nous avons tous eu des séquences de chorégraphie pendant que Chris [NdM : Hemsworth] et Cate Blanchett se battaient ensemble, et moi-même et Idris [NdM : Elba – Heimdall] et Taika [NdM : Waititi – le réalisateur] avions tous ces mouvements que nous devions faire avec le fantastique département des cascades dans leurs combinaisons de capture de mouvement.
Et nous faisions cette scène, c’était un après-midi, et c’était moi-même et Idris et peut-être Taika. Je ne me souviens pas. Idris était définitivement là, et c’étaient deux plans de nous en train de se battre contre ces athlètes fantastiques que sont les cascadeurs. Et j’ai me suis retrouvé à court de chorégraphie. En gros, je pense que j’ai fini mes mouvements avant Idris, et il tournait toujours, et je ne voulais pas rester là comme un citron, à ne rien faire d’intéressant. Alors j’ai juste fait un flip avec les couteaux, et les ai rattrapé par chance.
Et Idris en a ri. Nous l’avons revu. Il était [comme], « Oh, mon Dieu, il avait fini et a fait un flip de couteau à la fin. ». Parce qu’il finissait ses mouvements de combat. Mais, oui, ça a fini par rester. J’ai depuis essayé de le faire. Chaque fois que j’essaie de le faire avec des cuillères en bois, ça ne marche jamais, et j’en laisse toujours une.
Tom Hiddleston à Entertainment Weekly
Bref, une impro digne du « He’s a friend from work ! » (« C’est un ami du boulot ! »).