Critique : Play Dirty
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Ce test se base sur le Blu-ray de No Pain No Gain. L’heure de revivre les aventures complètement folles (et vraies) de criminels amateurs.
Quand Michael Bay décide de revenir au cinéma plus traditionnel, on est forcément piqué au vif. En plus, c’est une histoire vraie…
Encore un film sur la dépression financière! Pfff on en a soupé. Après tout, on avait bien eu le droit à Inside Job et Margin Call.