Critique : Tenet
Encore une déception made in Nolan. L’idée de départ est géniale, l’exécution beaucoup moins. La faute à une intrigue globalement prévisible.
Encore une déception made in Nolan. L’idée de départ est géniale, l’exécution beaucoup moins. La faute à une intrigue globalement prévisible.
Au lieu de faire la suite de son X-Men, Vaughn préfère installer une nouvelle franchise adaptée d’un comic de Mark Millar. Le bon pari ?
L’histoire, les thèmes et la durée d’Interstellar en font le film le plus ambitieux de Christopher Nolan. Le résultat est à la hauteur ?
Christopher Nolan nous invite pour une nouvelle odyssée dans l’espace, 46 ans après celle de Kubrick, sauf que le temps s’en mêle.
On commence à en savoir un peu plus sur l’intrigue du film, même si la bande-annonce a l’intelligence d’en dire peu pour nous laisser avec juste ce qu’il faut.
Le français Leterrier is back et il ramène avec lui un joli gang (dont deux français) pour un spectacle de magie hors du commun. Voici les Quatre Cavaliers.
The Dark Knight Rises devait être la conclusion épique de ce que l’on appelle désormais la trilogie Nolan.
Rien que la présence sur l’affiche de The Rock m’a convaincu d’aller voir ce film même si je n’ai pas vu le premier opus.
Le premier épisode m’avait laissé passablement froid, l’histoire n’était qu’une resucée du script somme toute banale du jeune prétentieux de la ville qui découvre la vie simple au contact des ploucs de la campagne.