Critique : The Crown – Saison 4
Une de ses meilleures saisons de The Crown. Du moins, la plus équilibrée au niveau de la qualité. Le tout sur des sujets fascinants.
Une de ses meilleures saisons de The Crown. Du moins, la plus équilibrée au niveau de la qualité. Le tout sur des sujets fascinants.
Malgré ses bonnes idées et un début en fanfare, je n’ai pas réussi à accrocher à Enola Holmes. En même temps, je ne suis pas le public visé.
Sherlock Holmes a une petite sœur. Elle s’appelle Enola et est jouée par la star de Stranger Things. Voilà un curieux pitch.
Après un début poussif, Dark Crystal : Le temps de la résistance finit par prendre ses aises et déploie une intrigue captivante dans un univers très riche.
Quand tu vois trois bandes-annonces plutôt excitantes, mais dont aucune ne vaut un article pour elle seule, qu’est-ce que tu fais ? Ben, tu les combines.
Après la bonne surprise Maléfique, relecture intelligente du mythe de La Belle au Bois Dormant, j’étais curieux de découvrir ce nouveau Cendrillon.
Avec L’Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet, JPJ signe l’adaptation d’un roman dont je n’ai jamais entendu parler…
Lone Ranger semblait bien parti pour n’être qu’un spin-off du pauvre de Pirates des Caraïbes dans l’Ouest Sauvage. La claque n’en a été que plus forte!
Lorsque j’appris qu’ils allaient adapter Les Misérables, ma première réaction fut : pfff, ces américains… Mais bon, il s’agit de la comédie musicale.
Dark Shadows était à la base une série qui avait fasciné Tim Burton dans sa jeunesse. Du coup, il retourne ici à ses premiers amours après l’échec artistique mais pas monétaire de son Alice.