Critique : Call of Juarez : Gunslinger
Trois épisodes pour la saga pour l’autre appel (pas celle du devoir), celui du plongeon dans le Far-West. Qu’attendre de ce dernier ?
Trois épisodes pour la saga pour l’autre appel (pas celle du devoir), celui du plongeon dans le Far-West. Qu’attendre de ce dernier ?
Parce que prendre le métro tous les jours ne suffit pas, il faut aussi le prendre en jeu vidéo et Metro: Last Light permet de le faire.
Les DLC n’ont jamais été ma tasse de thé toutefois, ce jugement mérite d’être révisé avec Far Cry 3 : Blood Dragon.
Dead Island Riptide n’est qu’une version pauvre de Borderlands (mais avec des zombies, c’est important ça).
La perfection frôlée. Malgré son perfect au niveau technique et histoire, Bioshock Infinite souffre d’une répétitivité au niveau des combats.
Qui est cette créature à crête avec un haut rouge essayant de se raser avec un flingue tout en étant accroupi à côté d’un mec enterré ?
A chaque année, son Call of Duty et sa polémique annuelle où les fans s’étouffent devant le peu d’originalité entre chaque épisode.
Ayant zappé le renouveau de la série l’année dernière, j’étais enthousiaste à l’idée de retâter du Medal of Honor.
Dishonored est un bon jeu à la prise en main agréable et une liberté rafraichissante seulement il pèche par une histoire simpliste.
La suite du jeu phénomène arrive… et alors, c’est bien ou pas ? C’est toujours aussi répétitif ? Ou ça défoule ?
Syndicate me branche pas mal grâce à son ambiance mais surtout le label : Starbreeze Studios, le studio derrière Riddick et The Darkness.
Un FPS classique sublimé par une belle histoire bien mise en scène. Ce qu’il perd en liberté, il le gagne en richesse du scénario.