Critique : Equalizer 3
Un 3ème opus quittant l’Amérique pour l’Europe sans changer sa formule. Ça reste addictif, car les méchants sont des sacrés enfoirés.
Un 3ème opus quittant l’Amérique pour l’Europe sans changer sa formule. Ça reste addictif, car les méchants sont des sacrés enfoirés.
J’ai failli m’énerver au début du film à voir Denzel en chauffeur Lyft. J’avais l’impression de retourner au boulot…
Avec Equalizer, Sony démarre une franchise autour de Denzel. Mais avant de parler franchise, il faudrait déjà un premier épisode réussi.