Critique : Solo: A Star Wars Story
Je ne vais pas revenir sur les remous de la production tant le sujet a déjà été débattu. À la place, je vais juger le résultat final.
Je ne vais pas revenir sur les remous de la production tant le sujet a déjà été débattu. À la place, je vais juger le résultat final.
Mine de rien, le nouveau Star Wars Story sort dans un mois et demi et il aura l’honneur d’être le film d’ouverture du festival de Cannes 2018. Pour marquer le coup, nouvelle bande-annonce !
Pour la bande-annonce de Solo: A Star Wars Story, il n’aura pas fallu attendre longtemps après le spot du Super Bowl vu qu’elle est déjà là.
Civil War avait permis de découvrir un jeune et fringuant Spider-Man flanqué d’une superbe Tante May. Homecoming offre de le connaître.
En plus du Judge Dredd, un autre personnage phare des comics débarque à la télévision. Il s’agit du mercenaire à la grande gueule, Deadpool.
Autant la hype peut monter en flèche, autant elle peut exploser en vol telle une vulgaire Alderaan comme lorsque j’ai découvert le nouveau Han Solo.
Après Il faut sauver le soldat Ryan et le film de Nolan, il va falloir à nouveau aller chercher Matt Damon pour le ramener à la maison.
Spider-Man va être rebooté. Du coup, on va se taper encore un nouveau Peter Parker et revivre la mort d’Oncle Ben.
Souvent ce genre de comédie ne traverse pas la douane française à cause d’un humour difficilement importable mais ce n’est point le cas ici…
Assurément la grosse surprise au niveau des séries. Découvert seulement cette année après déjà deux saisons et demie sorties aux States.